"L'artiste est essentiel et il nous donne à voir l'Essentiel"

Spectacle Charles de Foucauld, écrit et mis en scène par Daniel Facérias, produit par Anne Facérias.

Paris Notre-Dame – Pourquoi ce nom, Diaconie de la beauté ?

Anne Facérias – Diaconie veut dire « service », mais le mot important est bien « beauté ». La Diaconie de la beauté s’enracine en octobre 2012 au Vatican pendant le synode sur la nouvelle évangélisation, avec cette proposition qu’on peut reformuler ainsi : « Prenez le chemin de la beauté pour aller vers la toute beauté ». Cet appel a résonné très fort en nous, mon mari et moi, artiste et producteur depuis plus de trente ans. Nous avons donc lancé ce mouvement d’artistes en quête de beauté et en marche vers la toute beauté, la beauté divine. Il y a une véritable volonté d’évangélisation dans la manière de concevoir et de pratiquer notre art. On est ému par la beauté d’un talent, une danse, une toile, une sculpture. Cette émotion est aussi une élévation de l’âme. J’aime voir l’artiste comme un médiateur entre terre et ciel. L’artiste est essentiel, et il nous donne à voir l’Essentiel.


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Propos recueillis par Charlotte Reynaud


Animations avec l’Association Diaconie de la Beauté à la Madoire Orvault